lundi, juillet 06, 2009

Toles de Mayotte

Une petite fille devant une maison en tôle


Paresse d'écrire. Non, pas encore. Je voudrais que l' écriture me rentre dedans. Mais elle me survole. Elle m'abandonne ensuite, je reste frustré. J'écrivais ces dernières semaines, pendant la pause de midi, dix minutes parfois quinze. Pas plus. Beaucoup trop.
Paresse d'écrire. Ecrire est un muscle. Schlakkkkk!! Susceptible de déchirure.
Tant mieux. J'ai envie de violence.

J'en suis incapable, pourtant.


Il y a des musiques que j'aimais. Je les ai oubliées. Je me fais une joie de les redécouvrir un jour.

J'ai longtemps hésité. Puis, j'ai emmené à Mayotte mon couteau à lame Damas et un minuscule couteau portugais. Les autres, je les ai laissés à Marseille.

Maintenant, il est temps de rentrer à la maison. Si je ferme les yeux et je me demande "c'est où chez moi ?" je ne peux que répondre que je ne sais pas.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Lunembul en funambule de la vie.;-)

Je suis toujours le fil de vos écrits...jolis...
la vie quoi ...:-)