dimanche, septembre 01, 2013

L'envers des corps ?



Une grande partie de ma vie, j'ai été obsédé par Dieu, D majuscule. D'une certaine façon ça dure encore à travers mon étonnement émerveillé face aux "croyants" et leurs déclinaisons molles, ceux qui croient à "quelque chose".
Etonnement, stupéfaction plutôt. Comme si le cerveau s'arrêtait de penser. Roue libre tombent des mots déjà dits, tout faits, des phrases et même des textes, beaucoup de textes. Mais au fond qui reviennent à "Dieu existe puisqu'il existe", besoin de croire.
Emerveillé parce que, ça marche parfois, ça apaise les peurs.



Il y avait la musique, la Seine, un peu de vent. D'immenses bateaux lents et silencieux, des oiseaux, trois cygnes blancs. Il y avait des ponts que des voitures traversaient et sur la berge un enfant agitant les bras. Il y avait aussi un minuscule morceau de ma vie.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

dieux existe parce ce qu'il existe
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