
Lorsque je suis dans un rêve, je ne sais pas que je rêve ou alors c'est que je ne rêve plus.
Lorsque je pense, je sais que je pense et ne m'arrête pas pour autant de penser.
C'est toute la différence.
Il y a un au-dehors du rêve, ce serait le réel à condition que je n'en fasse pas partie ce qui est une hypothèse problématique mais amusante. Ou bien ce serait un surréel, une supra réalité dans laquelle nous baignerions tous comme des bébés dans le liquide amniotique, sans le savoir.
Conclusion 1 en forme d'ogive nucléaire : les vacances ne me réussissent pas.
Conclusion 2 en forme d'évidanse classique : le surréel établit des gros surchèques à l'ordre de SurJacques et j'en ai besoin : je viens d'apprendre que Johann n'a pas payé son loyer depuis le mois de Mai, et je me suis porté garant…
Conclusion 3 en forme d'oiseau lyre géant : Rachida va se marier, j'en suis heureux pour elle. Le monde n'est pas mal fait.
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